Sa première présence dans les registres de la colonie est le 20 mars 1669 lorsqu'il fut parrain de Françoise Beauchamps à Montréal (ND)[2]
Mariage
Claude Raimbault et Magdeleine Thérèse Sallé firent un contrat de mariage devant le notaire Bénigne Basset le 14 décembre 1670.[3]
Le 15 décembre 1670 à Notre-Dame de Montréal, Claude Raimbaut, maître menuisier, fils de René Raimbaut et de Claude Marchand, de la paroisse de St-Jean de Chasay Henry, évêché d'Angers, épousa Magdeleine Thérèse Sallé, fille de Claude Sallé maître peintre et de Magdelaine Montallié de la paroisse de St-Médard à Paris, les 3 bans publiés sans opposition, le mariage fait en présence de Gabriel Souart ancien curé de la paroisse, de noble homme Pierre Picotté sieur de Belestre, Jean Baptiste Migeon sieur de Branssat proc. fiscal de la seigneurie, Pierre Gadois maître armurier, Abraham Bouat, Henry François Sabatier, Pierre Caillé, et plusieurs autres, tous amis communs des parties, Gilles Perot curé célébrant. Signatures multiples sur l'acte.[4]
Enfants du mariage tous nés et baptisés à Montréal (ND)
Pierre Raimbaut, baptisé 18 octobre 1671[5]; Pierre épousa en premières noces Jeanne Françoise Simblin en 1691 en France, et revint au pays ensuite; Pierre Raimbault, 35 ans, a épousé Louise Nafrechoux, 29 ans, le 9 janvier 1707 à Notre-Dame de Montréal.[6]
Claude Raimbaut maître menuisier, est nommé sur la sépulture de Fiacre Ducharne le 17 mars 1677 à Montréal.[13]
Son épouse retourne en France en 1680 avec leurs enfants, on ne sait pas sur quel navire.[14] Elle rappelle son mari par lettre de Paris le 15 mars 1681 selon Jetté.[11]
La dernière présence trouvée de Claude Raimbaut dans les registres religieux de la colonie est en date du 12 octobre 1681 lorsqu'il fut témoin à la sépulture d'Hubert Leroux à Montréal.[2] Le dernier acte notarial est une sentence arbitrale devant Claude Maugue en janvier 1682. Le résumé ne spécifie pas s'il était présent lors de cet arbitrage. En 1683 un acte cite François Hervé comme son procureur dans une quittance.[3]
On le dit parti en 1681, navire inconnu.[15] Il serait possiblement retourné en France en 1682 plutôt.
Au contrat de mariage de sa fille Marie Genevière le 9 janvier 1700 à Paris, son épouse Madeleine Thérèse est présente, Claude est cité défunt déjà. Il était de son vivant commis aux aides à Paris. (voir actes notariaux, dernier)
Au mariage de leur fils Pierre en 1707, Claude et son épouse Madeleine Thérèse sont tous deux cités défunts.[6]
-Contrat de mariage de Claude Raimbault et de Magdelaine Thérèse Sallé (14 décembre 1670). pg 203
-Vente par Louis Doux dit Ladouceur à Claude Raimbault (9 décembre 1671). pg 207
-Vente par Pierre Dagenets à Sr. Raimbault (17 septembre 1673). pg 221
-Vente par Pierre Dagenets à Claude Raimbault (17 septembre 1673). pg 221
-Engagement de Jean Armande à Claude Rainbault (22 avril 1675). pg 233
-Vente de concession par Simon Guillory à Claude Raimbaut (15 mai 1675) pg 234
-Vente de vache par Simon Guillory à Claude Raimbault (15 mai 1675). pg 234
-Vente de concession par Claude Raimbault à Jean Descarris (3 juin 1675). pg 234
-Cession et transport par Claude Raimbault à Pierre Ferrier dit LaSaulaye (29 janvier 1676). pg 241
-Obligation de Claude Raimbault à Isaac Caillou (26 août 1676). pg 245
-Vente par Claude Raimbault à Simon Mars (15 juin 1677). pg 251
Arrêt accordant les droits et les privilèges de bourgeois au sieur Simon Mars par le lieutenant général de la Prévôté de Québec et défendant à toutes personnes de le troubler et de l'inquiéter dans la jouissance de ses privilèges; 28 juin 1677
Description: Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Du 28e juin 1677 de matin. Le Conseil assemblé où étaient Monsieur le gouverneur, Monsieur l'évêque, Monsieur l'intendant, les sieurs de Villeray, de Tilly, Damours, Dupont, de Lotbinière, Depeiras de Vitray conseillers et d'Auteuil procureur général. Sur la requête présentée au Conseil par Simon Mars marchand contenante que depuis quatre à cinq ans il a presque toujours résidé en cette ville de Québec et fait les fonctions d'habitant pourquoi il aurait des l'année dernière fait soumission au greffe de la juridiction ordinaire de faire sa résidence dans cette dite ville pour jouir des privilèges que le Roi a accordés aux personnes qui y sont habitués, ce qui lui fut accordé par le lieutenant général de la prévôté de cette ville par acte du dixième novembre dernier, depuis lequel il aurait acquis du nommé Raimbaut et sa femme une maison avec ses appartenances située en la ville de Ville-Marie en l'île de Montréal par la somme de deux mille quatre cents livres par contrat passé par-devant Basset notaire royal audit lieu le quinze, de ce présent mois de juin. Requérant qu'il plaise au Conseil le faire jouir à l'avenir des privilèges accordées aux bourgeois et habitant de ce pays, et de faire défenses à toutes personnes de le troubler aux commerces et trafics qui leur appartiennent, vu ladite requête signée Simon Mars, acte par lequel ledit lieutenant général ordonne qu'à l'avenir ledit Mars jouira des privilèges des bourgeois de cette ville avec défenses à toutes personnes de le troubler aux commerces et trafics qui sont et appartiennent aux habitués et bourgeois d'icelle dudit jour dixième novembre dernier signée Rageot et scellé du sceau de ladite prévôté. Contrat passé par, devant Basset notaire royal à Montréal le quinzième jour de ce mois par lequel il appert que Claude Rainbaut et Madeleine Thérèse Sallé sa femme ont rendu audit Mars une maison avec ses appartenances y énoncées, située en la ville de Ville-Marie par la somme de deux mille quatre cents livres, arrêt portant communication du tout au procureur général du Roi pour ses conclusions vues être ordonné ce que de raison du vingt et unième de ce présent mois. Conclusions dudit procureur général du jourd'hier, tout considéré. Le Conseil sans avoir égard à ce qui a été ordonné par ledit lieutenant général a ordonné et ordonne que ledit Mars jouira des droits et privilèges attribués aux bourgeois et habitant de cette ville sans toutes fois tirer à conséquence pour l'avenir, et défenses à toutes personnes de le troubler ni inquiéter dans la jouissance desdits privilèges. DUCHESNEAU.»[16]
Notaire Antoine Adhémar Vol V[3]
Accord entre Goyou [Gouyau], Bessède, Raimbault, Dulaurier et Lamarche (18 juillet 1678). pg 32
-Marché entre Claude Raimbault et Pierre de Vanchy, par lequel le dit Raimbault cède à Pierre De Vanchy toute la récolte de grain qui se trouve sur son habitation de la Longue Pointe (24 août 1680). pg 49
-Bail d’une habitation à la Longue Pointe, par Claude Rimbaud, de Montréal à Julien Beloy de Montréal (5 juin 1681). pg 61
-Vente d ’une concession de soixante arpents à la côte St-François sur le bord de l’escor du fleuve St-Laurent, par Claude Raimbault de Ville-Marie à Jean Aubuchon (10 octobre 1681). pg 69
-Vente d’une maison sur l ’emplacement ci-dessus mentionné par Claude Raimbault à Jean Aubuchon (10 octobre 1681). pg 69
-Quittance par Barbe Poisson veuve de Gabriel Selle sr Duclos à Jean Aubuchon pour la somme de quatre vingt livres, pour Claude Raimbault son débiteur (11 octobre 1681). pg 69
-Sentence arbitrale entre M. Basset et Claude Raimbault pour certains comptes qu’ils auraient eus ensemble. (20 janvier 1682). pg 76
-Quittance par François Hervé procureur de Claude Raimbault à Jean Aubuchon pour payer certaines dettes (30 septembre 1683). pg 108
Contrat de mariage de sa fille :
Le 09.01.1700 devant Nicolas de Savigny I et son confrère, Étude XLIV 150
Henri Laurent, marchand mercier, demeurant à Paris rue du Bourg-Labbé, paroisse Saint-Leu-Saint-Gilles, fils de Jacques Laurent, demeurant à Villiers-le-Bel (Val-d’Oise), et défunte Marguerite Pariset, pour lui et en son nom, et Marie-Geneviève Raimbaud, fille de défunt Claude, commis aux aides à Paris, et de Madeleine-Thérèse Sallé, sa veuve, demeurant rue du Vieil-Colombier, paroisse Saint-Sulpice, aussi pour elle et en son nom. En présence de sa mère, Geneviève Sallé, fille majeure jouissante de ses biens et droits, demeurant rue du Vieil-Colombier, tante maternelle. Laquelle tante donnera à la future pour l’amitié quelle lui porte 2000 livres de dot dont 1500 en deniers comptants, et le reste en meubles, linge, hardes. La moitié des 2000 livres entrera dans la communauté. 800 livres de douaire préfix. Les 1500 livres ont été données le 24.01.1700 en louis d’or et d’argent. Les deux futurs signent comme Madeleine Thérèse et Geneviève Sallé.[17]
Sources
↑ PRDH: Research Programme in Historical Demography (free): Pionnier: 64802
↑ 2.02.1 Quebec, Vital and Church Records (Drouin Collection), 1621-1997 - Drouin IGD
Featured Asian and Pacific Islander connections:
Claude is
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