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Jehan Bourasseau (1634 - 1718; Variante des prénoms Jean, Baptiste et le nom de Bourassa.
Père et mère:
Il est le fils de Jacques Bourasseau et de Françoise Fouchard.
Naissance:
Le 1 avril 1634, il naît et est baptisé le même jour à Bazoges-en-Paillers (Sacré-Coeur) (Vendée), France.[1][2][3]
Frère et soeurs:
Un frère et quatre sœurs sont baptisés à St-Fulgent (St-Fulgence) (85215):
Le 5 avril 1657, il est à La Rochelle, Aunis (Charente-Maritime, Poitou-Charentes), France.
Migration vers la Nouvelle-France:
Le 10 avril 1657, à bord du navire «Les Armes d'Amsterdam», il quitte le port de La Rochelle, en migration vers le Canada à titre d'engagé, contrat Moreau, La Rochelle. Traversée très difficile et longue. Voir la description complète de cette entreprise sur le blogue de Guy Perron:[4].
Le 5 novembre 1662, il apparaît dans les archives canadiennes pour un bail à ferme.
1° Mariage:
Perrette Vallée , une Fille du Roi,[5] et Jean Bourasseau signent un contrat de mariage le 5 octobre 1665 par devant le notaire Pierre Duquet en présence de Daniel de Courcelles, Jean Talon, comte d'Orsainville, Alexandre, marquis de Tracy, les sieurs Louis Peronne de Mazé et Jacques Cailhaut de la Tesserye, dame Marie Barbe de Boulogne et Anne Gasnier.[6][7][8] Le nom de Bourasseau s'est transformé en Bourassa.
Le 20 octobre 1665, en la paroisse Notre-Dame de Québec, Jean Bourassa âgé de 31 ans épouse Perrette Vallée (Vallay) âgée de 21 ans, fille de Nicolas (Vallée) Vallet et de Madeleine Mayor (Catherine (Major) Mahuet). [9][10][11] Cités comme témoins sont: Henry Béreau, Toussaint Ledrans et Bastien Prouvereau, le prêtre célébrant étant Hugues Pommier.
Enfants connus / Known children: Jean Bourasseau & Perrette Vallée
Le 5 mai 1676, son épouse Perrette Vallée décède en accouchant, dans sa maison de la côte de Lauzon (alors Pointe-de-Lévy) et est inhumée le 6 mai 1676 au cimetière de cette paroisse. Acte de sépulture inscrit à la paroisse Notre-Dame-de-Québec.[13] Notre-Dame de Québec.][12]
Le 18 novembre 1666, Jean Bourasseau donne quittance à Sébastien Prouvereau et Jean Huart du prix d'une terre qu'il leur a vendue dans; la seigneurie et qu'il a acquise quelques jours auparavant, 14 nov. greffe duquet - 18 nov. greffe Rageot.
Le premier mai 1667, le sieur Louis Couillard de l'Espinay vend à Jean Bourasseau, pour le prix de trente livres tournois par an et deux chapons vifs, payables en blé, en anguilles, ou en argent. [14] Louis Couillard se réservait le droit de reprendre cette terre à la majorité de son fils aîné Jean-Baptiste, en payant les améliorations qui y seraient alors faites,
Le 15 mai 1667, Jean Bourassa, Sébastien Prouvereau et Jean Huart s'associent pour exploiter la ferme de Charles Amiot.
Le 25 novembre 1672, Jean Bourassa obtient une concession entre celles de Louis Gezeron dit Brulot et François Marchand.
2° Mariage:
Le 25 octobre 1676, Catherine Poitevin et Jean Bourassa signent un contrat de mariage par devant Gilles Rageot. - Le 5 novembre 1676, à Québec, Canada, Jean Bourassa âgé de 42 ans épouse Catherine Poitevin âgée de 35 ans, veuve d'Adrien (Isabelle) Isabel. fille de Guillaume Poitevin et de Françoise Macré, en présence de Jean Huart et de Georges Cadoret. [15] [16]
Catherine Poitevin est aussi une Fille du Roi [17] arrivée en Nouvelle-France en 1669. Elle épouse: 1°Adrien Isabel, le 10 octobre 1669 à Sainte-Famille (c, 28 septembre, m, Becquet) en apportant des biens estimés à 500 livres et le don royal de 50; 2° veuve d'Adrien Isabel, elle épouse Jean Bourasseau, le 5 novembre 1676, à Québec. [18]
Enfants connus / Known children: Jean Bourasseau & Catherine Poitevin:
Le 8 août 1677, sieur Henry Brault de Pomainville obtient une concession qu'il possédait depuis quinze à seize ans entre celles de Jean Bourassa et François Marchand.
Recensement 1681:
Jean Bourasseau 50 ; Catherine Poitier (Poitevin), sa femme, 40 ; enfants : François 15, Pierre 14, Jeanne 11, Jean l0, Marie 9, Madelaine 8, Catherine 6, MarieAnne 1 ; 1 fusil ; 3 bêtes à cornes ; 15 arpents en valeur. Ils vivent à la seigneurie de Lauzon, Canada.[19] (Note: Catherine 6 ans est fille de Catherine Poitevin et Adrien Isabel son premier époux.)[20]
En 1692, Jean Bourasseau (Bourassa) fait partie de ceux qui paye leurs rentes de la Coste de Lauzon à autres termes qu'à la St-Rémy.[21]
Selon Archange Godbout, il savait signer.
Décès:
Le 21 janvier 1718, âgé de 83 ans, Jean Bourassau / Bourassa décède et est inhumé le 22 janvier 1718 à Saint-Joseph-de-la-Pointe-de-Lévy, Canada.[22]
Two men with the surname of Bourassa crossed the Atlantic in the seventeenth century. Both are from the department of Vendée, specifically the Diocese of Luçon, but no genealogical research in France has shown a relationship between the two men.
Jean was the son of Jacques and Françoise Fouchard of St-Fulgent, (now in the department La Roche-sur-Yon), the bishopric of Luçon, in Poitou. He gave his age as 23 when he agreed to come to New France on 5 Apr. 1657 from La Rochelle. He enlisted for a period of three years to work in Québec at an annual salary of 90 livres.
They leave La Rochelle on April 10 aboard the ship Les Armes d'Amsterdam a 250 ton Flute. There are 47 people on board including the new Governor of New France Pierre Voyer d'Argenson, a priest, the 3 merchant owners of the expedition, and the 40 men engaged (including Jean Bourassa)
The voyage is very difficult. Not long after sailing the captain is surprised by the bad weather which takes the rudder and the spur off the ship, they take on water and they are forced to put in to Limerick Ireland for repairs. The ship takes a month to repair. On the departure from Limerick it begins to take on water again and they must return to Ireland for additional repairs. They finally depart on June 28 and arrive in Quebec City on August 20.[23] The enlistment was done by notary Cherbonnier, of La Rochelle. John worked for the merchants Pichon & Bestreau. Having ended his period of service, he chose to remain in New France and leased five acres in front of the manor of Lauzon on 5 Nov. 1662. Subsequently, he acquired many other lands in the same seigneurie until his death 20 Jan. 1718.
Perrette Vallée and Jean Bourasseau sign a marriage contract on 5 October 1665 before notary Pierre Duquet in the presence of Daniel de Courcelles, Jean Talon, comte d'Orsainville, Alexandre, marquis de Tracy, sieurs Louis Peronne de Mazé and Jacques Cailhaut de la Tesserye, dame Marie Barbe de Boulogne and Anne Gasnier.[6]
On the 20th of October 1665, she married Jean Bourasseau, son of Françoise Fouchard and Jacques Bourasseau, deceased, from the parish of St-Fulgent in Luçon diocese, in Notre-Dame de Québec basilica.[10][11] Named as witnesses were Henry Béreau, Toussaint Ledrans and Bastien Prouvereau, the priest celebrating being Hugues Pommier.
After Perrette's death, Jean married the widow of Adrien Isabel, Catherine Poitevin «a Fille du Roi» [24]), born about 1641, daughter of Guillaume and Françoise Macri, a native of St-Nicolas-des-Champs parish of Paris.
At the 1681 Census Jean Bourasseau was 50 yrs old, he had 1 gun, 3 horned beasts, and 15 arpents of land. Listed was his wife Catherine Poitevin 40 yrs old and children François 15, Pierre 14, Jean 10, Madeleine 8, Jeanne 11, Marie 9, Catherine 6, and Marie-Anne 1.[19]
The other immigrant with the name Bourassa was François and he was born about 1660 in the town of Saint-Hilaire-de-Loulay near Montaigu Vendée the son of Francis and Mary Duga.
He arrived in New France by 16 Aug. 1683. On 4 July 1684 he married Marie Leber at Fort Chambly. Marie's family was very active in the fur trade, including Marie's uncle Jacques. François signed on to go to Michilimackinac in 1690 however, he does not return in the fall 1691 as planned. What happened to François is unknown. Marie thinks her husband is dead and she is referred to as a widow in September 1693. But François returns safe and sound the next year. Subsequently, François Bourassa never leaves his family and is dedicated to the cultivation of the land at La Prairie until his death May 9, 1708, during an epidemic. Nothing prevents one of his sons, René, from following in the footsteps of his father and he becomes a partner of Pierre Gaultier de Varennes de la Vérendrye in the fur trade and established Fort Vermilion (Manitoba) in 1736.
Voir aussi / See also
Featured Auto Racers: Jean is 23 degrees from Jack Brabham, 22 degrees from Rudolf Caracciola, 13 degrees from Louis Chevrolet, 17 degrees from Dale Earnhardt, 33 degrees from Juan Manuel Fangio, 20 degrees from Betty Haig, 23 degrees from Arie Luyendyk, 20 degrees from Bruce McLaren, 18 degrees from Wendell Scott, 19 degrees from Kat Teasdale, 18 degrees from Dick Trickle and 26 degrees from Maurice Trintignant on our single family tree. Login to see how you relate to 33 million family members.
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