Il épousa Thérèse Giffard, fille du Robert Giffard, seigneur de Beauport, et Marie Renouard, le 22 septembre 1649 à Québec (voir image d'extrait de registre paroissial).[8][9][6][10] Le mariage est officié par le Barthélémi Vimont, prêtre,
au manoir de la seigneurie de Beauport.[9]
Il migra vers Québec en 1643.[2][11][5][12] Selon PREFEN, il aura migré en 1641 et il aurait été mentionné pour la première fois au Canada le 28 septembre 1641 à Québec en qualité de parrain de Marie-Madeleine Maheu.[12][13] Autres membres de famille a migré vers Québec:[13]
- 1634, son oncle, Noël Juchereau, ses parents, Jean Juchereau, père, et Marie Langlois, ses frères, Jean et François et sa soeur Geneviève
- 1662, son cousin germain, Claude de Bermen.
Il est décédé le 04 octobre 1692 à Québec et fut inhumé le lendemain à Beauport.[14][15]
Chronologie sélective
En 1647, Nicolas, son frère Jean et son oncle Noël Juchereau signe à La Rochelle, en France une contrat destiné à vendre la terre Saint-Michel à Pierre de Puiseau, sieur de Sainte-Foy.[16]
En 1651, Robert Giffard concède l'arriére-fief La Chesnay ou Duchesnay à sa fille Marie-Thérèse épouse et son epoux Nicolas Juchereau.[9]
En 1656, les frères Jean et Nicolas Juchereau obtiennent concession d'une maison à Québec, aujourd'hui connu comme la Maison Dumont au No. 1 de la place Royale ainsi que concession de la seigneurie de la Grande-Anse de Kamouraska ou de Saint-Roch des Aulnaies sur la rive sud du fleuve.[9]
En 1658, il est membre du Conseil de ia Nouvelle-France.[17]
En 1661, les frères Jean et Nicolas Juchereau obtiennent concession d'une terre dans la seigneurie de l'île d'Orléans de leur oncle Charny Lauzon.[17]
En 1666, il organise la compagnie de milice de Beauport et se distingue quand il accompagne M. de Courcelles dans son expédition contre les Agniers.[18]
En 1666, dans ce recensement, l'énumération pour Beaupré de sa famille figure telle que détaillée dans les notes qui suivent.[19][20]
En 1667, dans ce recensement, l'énumération pour la côte de Beauport de sa famille figure telle que détaillée dans les notes qui suivent.[21][22][23]
En 1670, il crée une société pour la pêche et la chasse à Tadoussac.[18]
En 1679, il obtient une concession de fief Saint-Denys destiné pour son fils Joseph entre les terres des sieurs de La Durantaye et de La Bouteillerie (Kamouraska et Rivière-Ouelle, respectivement). [24]
En 1990, à la tête de 300 miliciens à Beauport, il rencontre, et met en déroute, Phipps commandant la flotte anglaise venue attaquer Québec.[24]
En 1992 et 1700, le roi Louis XIV accorde des lettres de noblesse à Nicolas Juchereau de Saint-Denys.[25]
En 1729, il avait 102 descendants.[26]
- Arthur, Stanley Clisby, editor & compiler (1931) . Old Families of Louisiana, Originally published in New Orleans - Reprinted for Clearfield by Genealogical Pub. Co. in Baltimore (1977, 1999, 2006); see especially pp. 149-156, ISBN 0-8063-4688-4 (2006)
- Lambert, Claude, Genealogical chart combining PREFEN Fiche 8857, Notice Complémentaire; Montagne, Françoise (1965), Tourouvre et les Juchereau – Un chapitre de l’émigration percheronne au Canada, Contribution No 13, Société canadienne de Généalogie (Québec) / Association Perche-Canada, pp. 87-110 and Carpin, Gervais (1999). Le Reseau du Canada: Étude du mode migratoire de la France vers Ie Nouvelle-France (1628-1662), p. 495,
↑ 6.06.1 PRDH: Le Programme de recherche en démographie historique (free): Pionnier: 35358 PRDH Pionnier 35358
↑ Géographie historique et moderne du lieu de baptême:
La Ferté-Vidame (INSEE 28149) est aujourd'hui connu comme la commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre.
PRDH: Research Programme in Historical Demography (free): Pionnier: 35358 Date et lieu de baptême selon PRDH : Date - v 1625. Lieu - st-nicolas de la ferte-vidame, ev. chartres, perche (ar. dreux, eure-et-loir).
↑Lesperance 2002 citant Jetté 1983, p. 612: "JUCHEREAU, Jean (Fur merchant, Seigneur) with wife Marie LANGLOIS and children Jean, Nicolas & Genevieve, departed La Ferte Vidame 1634."
↑ 32.032.1 Senécal, Jean-Guy (senecal@fmed.ulaval.ca); Sep 27, 1998 , compilation OCR de trois documents Word disponible en ligne, ses documents se réfèrant principalement au Tome IV & V, Chapitre IV du livre Histoire des Canadiens-Française de Benjamin Sulte, édition 1977.
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« Le principal critère qui sert distinguer lemploi de la majuscule de la minuscule, cest le fait quon sadresse à quelquun (majuscule) OU quon parle de quelquun (minuscule). »
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Nicolas Juchereau, sieur de Saint-Denis (~ 1625 La Ferté-Vidame - 1692 Québec)
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According to Université de Laval CEFAN:
« Le principal critère qui sert distinguer lemploi de la majuscule de la minuscule, cest le fait quon sadresse à quelquun (majuscule) OU quon parle de quelquun (minuscule). »
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En fin un rappel, on ne met jamais de majuscule aux titres de noblesse,
Hence, l.c. 's' for 'sieur'.