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Joseph Caignard (abt. 1670 - 1731)

Joseph Caignard aka Coignart, Cognart, Cognard, Caniard
Born about in Paris, Île-de-France, Francemap
Son of [father unknown] and [mother unknown]
[sibling(s) unknown]
Husband of — married 12 Apr 1690 in Saint-Joseph de la Pointe-de-Lévy, Canada, Nouvelle-Francemap
Husband of — married 27 Oct 1720 in Notre-Dame de Québec, Canada, Nouvelle-Francemap
Died at about age 61 in Québec, Canada, Nouvelle-Francemap
Problems/Questions
Profile last modified | Created 5 Apr 2021
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Contents

Biography

Joseph Caignard a des origines françaises.

Joseph Caignard variations: Coignard, Cagnard, Caniars, Cognart...

Fils de Louis Cognard et de Jeanne Marc (inscrite Mons au mariage de Joseph), de la paroisse de St-Eustache de la ville et archevêché de Paris, il nait vers 1670 (20 ans selon son mariage en 1690).[1]

Mariage
Le 12 avril 1690 à la Pointe-de-Lévy, Joseph Cognart, fils de 20 ans de Louis Cognart et de Jeanne Mons de la paroisse de St-Vitache (sic) de l'archevêché de Paris, épouse Geneviève Hautbout, fille de Michel Hautbout et d'Henriette Cartois, en présence d'André Patri, beau-père de la fille, Jean Chabot, Michel Gotron dit la Rochelle, Joseph Lacroix, le prêtre Philippe Boucher célébrant.[2]

Enfants du mariage

  1. Jeanne Caniard, née 17 mai 1693 bapt. 2 juin St-Michel-de-Bellechasse[3]
  2. Marie Geneviève Caniars, baptisée 4 juin 1702 St-Michel-de-Bellechasse[4][5][6]; Marie Geneviève Cagniard s'est mariée en France avec Jacques Baudry en 1717.

Joseph Caignard est parrain de Marie Madeleine Lacroix, fille d'André et de Marie Madeleine Marchand, le 3 février 1707 à St-Michel-de-Bellechasse; de Marguerite Corivaux le 30 avril 1707 à St-Michel; de François Bidet le 9 octobre 1707 à St-Michel, Marie Stin étant marraine; il est présent au mariage de François Lavergne avec Renée Birette (tous deux veufs), le 15 avril 1709 à St-Michel; parrain de Marie Anne Moricet, fille de __ Moricet et d'Anne Caderin, le 3 janvier 1712 à St-Michel; présent au mariage de Jean Boucher avec Marguerite Carbonnaux (tous deux veufs) le 19 novembre 1726 à Berthier-en-Bas; témoin à la sépulture d'Antoine Vignaut le 9 septembre 1727 à Québec (ND)[7]

La vente qu'il fait de sa terre de la seigneurie de La Durantaye devant Genaple à Pierre Mauricet en 1700 occasionnera un conflit étrange qui se rendra jusqu'au Conseil Souverain en 1708.

Ordre d'exécuter le contrat de vente fait par Joseph Caignard, habitant de la seigneurie de la Durantaye (LaDurantaye) et son épouse, à Pierre Morisset, habitant de la Pointe-aux-bouleaux (Pointe-au-bouleau), passé par-devant le notaire Genaple le 26 juin 1700; le dit contrat sera exécuté selon sa forme et sa teneur, permettant au dit Morisset de demeurer propriétaire d'une certaine terre et d'une certaine habitation en la seigneurie de La Durantaye (LaDurantaye); 23 avril 1708

Description: Transcription du texte avec orthographe modernisée : «Entre Pierre MORISSET (Morissette) habitant de la Pointe au Boulleau (Bouleau) demandeur en requête par lui présentée en ce Conseil le vingtième août mille sept cent cinq d'une part, et Joseph CAIGNARD habitant de la seigneurie de Ladurantaye défendeur d'autre part, vu ladite requête contenante que ledit Morisset ayant acheté une terre en ladite seigneurie dudit Caignard pour la somme de cinq cents livres qu'il lui paya, ensuite il en paya les lods et ventes, nonobstant quoi il se trouve évincé de ladite terre après l'avoir achetée et payée ledit Caignard s'en prétendant encore le maître après l'avoir vendue et reçu l'argent, fondé sur ce que le propriétaire de ladite seigneurie l'en avait mis en possession à cause que ledit Morisset ne s'y était pas établi, et que ledit propriétaire de ladite seigneurie était fondé sur un arrêt de ce Conseil qui lui permettait de disposer des terres sur lesquelles on ne tenait point feu et lieu, lequel arrêt ne peut et ne doit être d'aucune considération au fait dont il s'agît, attendu que ledit Morisset n'a pas payé cinq cents livres comptant d'une terre pour l'abandonner et qu'il ne doit aucuns arrérages au propriétaire de ladite seigneurie, et que d'ailleurs il n'y avait qu'un an et demi qu'il l'avait acquise et que deux mois qu'il avait payé les lots et ventes audit propriétaire lors qu'il a disposé d'icelle au profit dudit Caignard qui l'avait vendue, pourquoi ledit Morisset étant fondé de contrat, quittance du principal et des lots et ventes, et d'un certificat d'un chirurgien de la longueur de sa détention audit lieu de la Pointe au Boulleau par un coup de hache qu'il s'était donné sur l'os de la jambe au temps des semences qui fut cause qu'il ne pût se transporter sur ladite terre pour y semer, il a fait action en la prévôté de cette ville contre ledit Caignard ou en jugeant il a été déféré audit arrêt, et les parties renvoyées à se pourvoir, et tendante à ce que vu la sentence de ladite prévôté du vingt-deuxième janvier mille sept cent quatre il lui fut permis de faire approcher en ce Conseil ledit Caignard pour voir ordonner qu'il déguerpira de ladite habitation et qu'il en payera les jouissances du temps qu'il en a joui depuis ladite vente et tous ses dépens dommages et intérêts et lui fournira quittance des droits seigneuriaux, ordonnance enfin de ladite requête dudit jour vingtième août mille sept cent cinq portant permission d'assigner pour en venir au dernier dudit mois attendu les vacances, autre ordonnance de Monsieur l'intendant du dixième octobre mille sept cent six, portant que les parties viendraient en ce Conseil le dix-huitième du même mois attendu que l'affaire requiert célérité signification desdites requête et ordonnances faite audit Caignard à la requête dudit Morisset le onzième dudit mois avec assignation à comparaître en ce conseil le lundi suivant pour voir ordonner sur les fins et conclusions de ladite requête, arrêt rendu en ce Conseil le dix-huitième dudit mois d'octobre qui appointe les parties à écrire et produire dans les délais de l'ordonnance par-devant maître François Aubert conseiller les pièces dont elles entendent se servir pour sur son rapport leur être fait droit ainsi que de raison, signification dudit arrêt faite à la requête dudit Morisset audit Caignard le vingtième du même mois avec déclaration que ledit Morisset produira incessamment au greffe de ce Conseil les pièces dont il entend se servir, pour être remises audit sieur Aubert pour en faire son rapport à ce que ledit Caignard ait à produire de sa part si bon lui semble dans le temps de l'ordonnance; un écrit dudit Caignard intitulé griefs de lui signé signifié à sa requête audit Morisset le vingt-sixième dudit mois d'octobre avec déclaration qu'il va incessamment produire sesdits griefs au greffe de ce dit Conseil pour faire droit à qui il appartiendra, requête présentée à Monsieur l'intendant à ce qu'il lui plût nommer un rapporteur au lieu et place dudit sieur Aubert attendu son départ pour France, l'ordonnance enfin d'icelle du vingt-huitième décembre de ladite année mille sept cent six par laquelle maître François Hazeur est commis au lieu et place dudit sieur Aubert, contrat de concession faite par-devant feu maître Gilles Rageot vivant notaire en la prévôté de cette ville le quinze juin mille six cent quatre-vingt-onze, par maître Olivier Morel propriétaire de ladite seigneurie de Ladurantaye conseiller en ce Conseil à Joachim Molleur absent son père acceptant pour lui ses hoirs et ayant cause trois arpents de terre de front sur le fleuve Saint-Laurent en ladite seigneurie aux charges clauses et conditions portées par icelui, autre contrat de la vente faite de ladite habitation par ledit Joachim Molleur audit Caignard pour le prix et somme de deux cent cinquante livres passé par-devant Genaple notaire le quinzième juin mille six cent quatre-vingt-dix-sept, ensuite duquel est la quittance de ladite somme passée par-devant ledit Genaple le vingt-septième juillet mille sept cent, autre contrat de vente faite par ledit Caignard et Geneviève Audeboust sa femme de lui dûment autorisée de ladite habitation audit Pierre Morisset à la charge de payer par lui au seigneur dudit lieu trente livres pour les cens et rentes dues et outre la somme de quatre cent trente livres, sur laquelle il paraît par ledit contrat que ledit Morisset a payé comptant la somme de cent livres et que les trois cent trente livres restants devaient être payés huit jours après, un certificat dudit Genaple notaire du vingt-sept juillet mille sept cent qu'il y a quittance à la minute du contrat d'acquisition ci-dessus de la somme de trois cents livres payée par François Frichet en l'acquit dudit morisset, une quittance dudit Caignard du quinzième octobre de ladite année mille sept cent de la somme de cinq livres qu'il a reçue de François Frichet à l'acquit dudit morisset pour reste de payement de la somme de cinq cents livres dont il quitte et décharge ledit Morisset et de toutes autres jusqu'audit jour pour le prix principal de ladite terre ledit contrat en date du vingt-sixième juin mille sept cent, ensuite duquel contrat est la quittance des lods et ventes de ladite terre reçus par ledit sieur de Ladurantaye du vingt-huitième du même mois, arrêt rendu en ce Conseil le neuvième janvier mille sept cent deux, sur requête présentée en icelui par ledit sieur de Ladurantaye par lequel le Conseil lui a permis de reprendre et concéder de Nouveau à qui bon lui semblera toutes les terres et habitations par lui ci-devant concédées soit par billets ou autrement sur lesquelles les concessionnaires ne tiennent feu et lieu et ni font Aucuns défrichements les ayant abandonnées s'y dans trois mois après la publication dudit arrêt Ils ne se rendent pas sur leurs terres pour y semer et y résider à l'avenir, que ledit arrêt serait lu, publié et affiché à la porte de l'église Paroissiale de ladite seigneurie issue de grande messe par le premier habitant qui en serait requis attendu l'éloignement des lieux pour éviter à frais et afin que lesdites concessionnaires n'en puissent prétendre cause d'ignorance, et pour remédier aux abus et difficultés arrivées par le passé au sujet des billets de concessions ordonné qu'ils demeureront nuls à l'égard des habitants auxquels ils auront été donnés par les seigneurs si dans l'année ils ne sont établis sur les terres ainsi concédées et n'ont commencé à les défricher autrement et à faute de ce permis aux seigneurs d'en disposer ainsi qu'ils aviseront, ledit arrêt lu publié le deuxième février à la porte de l'église à la sortie de la grande messe par Jacques Corivaux, une quittance donnée par ledit sieur de Ladurantaye audit Morisset le vingt-cinquième février mille sept cent deux de la somme de quarante-neuf livres qu'il reconnaisse avoir reçu par un billet de Louis Prat pour les cens et rentes et autres choses que ledit Morisset pouvait lui devoir jusqu'au jour, autre contrat d'une concession donnée par ledit sieur de Ladurantaye des le dix-neuvième mai mille sept cent deux par un billet sous seing privé audit Caignard de ladite habitation, en conséquence de l'arrêt dudit jour neufième janvier mille sept cent deux abandonnée par ledit Morisset qui n'a tenu compte de la faire valoir ni de tenir feu et lieu sur icelle aux charges clauses et conditions portées par ledit contrat de concession passé par-devant Chambalon notaire le seizième août mille sept cent trois, ensuite duquel est la copie du billet sous seing privé fait par ledit sieur de Ladurantaye audit Caignard ledit jour dix-neuvième mai mille sept cent deux, certificat du nommé Grégoire chirurgien à Neuville en date du neuvième septembre mille sept cent trois comme il a pansé ledit Morisset d'une plaie sur l'os de la jambe nommé Le Tibia dont il a sorti plusieurs esquilles depuis le commencement du mois de mai jusqu'au quinzième de juin mille sept cent deux, un certificat du sieur le valet prêtre en date du trentième janvier 1704, qu'il a connaissance que ledit Caignard a donné un billet audit sieur de Ladurantaye de la somme de deux cent vingt-cinq livres monnaie de France que ledit Caignard lui a dit devoir audit sieur de Ladurantaye pour une terre qu'il a réunie à son domaine faute par celui qui en était le dernier propriétaire de tenir feu et lieu dessus et qui lui a été concédée de Nouveau moyennant ladite somme de deux cent vingt-cinq livres de France, et les cens et rentes, requête présentée par ledit Morisset au lieutenant général de la prévôté de cette ville le trentième juillet mille sept cent trois à ce que vu le contrat de vente à lui faite de ladite habitation par ledit Caignard ledit jour vingt-sixième juin mille sept cent, et les quittances tant du principal, lots et ventes que des cens et rentes seigneuriales il lui fut permis de faire assigner ledit Caignard pour se voir condamner a le mettre en possession de la terre qu'il lui a vendue à peine de tous retardements soufferts et à souffrir et des dépens, ordonnance enfin d'icelle dudit jour trentième juillet mille sept cent trois, portant permission d'assigner, signification desdites requête et ordonnance audit Caignard du sept du mois d'août suivant avec assignation à comparaître en ladite prévôté pour procéder sur les fins de ladite requête, sentence rendue en ladite prévôté le vingt-deuxième janvier mille sept cent quatre, par laquelle lesdites parties sont renvoyées à se pourvoir ou se retirer par devers qui elles aviseront bon être, ouï ledit maître François Hazeur conseiller en son rapport et tout considéré, le Conseil a ordonné et ordonne que le contrat de vente faite par ledit Caignard et sa femme audit Morisset par-devant Genaple notaire le vingt-sixième juin mille sept cent sera exécuté selon sa forme et teneur et en conséquence que ledit Morisset demeurera propriétaire vrai et paisible possesseur de l'habitation mentionnée en icelui et déchargé du prix de l'achat d'icelle envers lesdits Caignard et sa femme, des lots et ventes et des cens et rentes envers ledit sieur de Ladurantaye jusqu'aux vingt-cinquième février mille sept cent deux date de sa quittance, et en conséquence déclare le Conseil le contrat de concession fait par ledit sieur de Ladurantaye audit Caignard de ladite habitation par-devant Chambalon notaire le seizième août mille sept cent trois nul et comme non avenu ainsi que son billet du dix-neuvième mai mille sept cent deux, enjoint audit Caignard de déguerpir incessamment de ladite habitation et de payer les cens et rentes d'icelles depuis le vingt-cinquième février mille sept cent deux jusqu'au jour du présent arrêt, et en ce qui concerne les améliorations que ledit Caignard pourrait avoir faites sur ladite habitation elles seront compensées pour le temps qu'il en a joui, qu'à l'égard des bâtiments que ledit Caignard pourra aussi y avoir faits il sera loisible audit Morisset d'en convenir de prix à l'amiable ou par arbitres sinon permis audit Caignard d'en disposer comme bon lui semblera et ledit Caignard condamné en tous les dépens de l'instance à taxer par ledit maître François Hazeur conseiller rapporteur sauf audit Caignard son recours envers et contre qui il avisera bon être. Pour le greffier quatre écus. F. HAZEUR RAUDOT.»[8]

Paris
En mai 1714 il est présent avec son épouse à Paris pour un acte de succession de ses parents. Il est aussi présent lors du contrat de mariage de sa fille Marie Geneviève avec Jacques Baudry dit Lamarche le 9 février 1717 à Paris.[9]

Il revient au pays vers 1719 selon un acte à Paris qui le mentionne absent depuis 2 ans en 1721. Possiblement après le décès de son épouse.[9]

Mariage 2
Joseph Caignard, veuf de Geneviève Bellehumeur, se remarie le 27 octobre 1720 à Notre-Dame de Québec avec Marie Stins, veuve d'André Loup dit Polonais.[10]

Aucun enfant du mariage.[7]

Décès
Joseph Caignard décède le 22 janvier 1731 et est inhumée le 22 à Québec (ND), l'acte lui donnant 72 ans.[11]

Notes

Tanguay le répertorie sans ses enfants en page 522 de son volume 2 sous Caignard.[12] et sous le nom Cognart au volume 3 page 106, sans ses filles, lui donnant un fils, Charles Cognart[13] Il s'agit de Charles Cognard, dont les parents sont nommés à son mariage, donc pas son fils.

Actes notariaux / Notarial acts

Actes devant le notaire François Genaple (Vol VII)[14]
-Vente de Joachim Moleur à Joseph Caignard (15 juin 1697). pg 117
-Vente de Joseph Caignard et Geneviève Audebout son épouse à Pierre Mauricet (26 juin 1700). pg 143
-Quittance de Joachim Molleur à Joseph Caignard (27 juillet 1700) (Vide le 15 juin 1697). pg 144
-Quittance de Joseph Caignard au sieur Mauricet (27 juillet 1700) (Vide le 26 juin 1700). pg 145

Actes devant Louis Chambalon (Vol XVIII)[14]
-V. par Joseph Cagniard, de la seigneurie de la Durantaye, à Simon Chambrelan, de St-Jean, I.O. d’une terre et habitation en la dite seigneurie (28 mai 1697). pg 186
-Ratif. par Geneviefve Audebout, de la vente faite par Joseph Cagnard, son mari, à Simon Chambrelan (31 mai 1700) (Voir le 28 mai 1697). pg 262

Actes devant Louis Chambalon (Vol XIX)[14]
-Concession d’Olivier Morel de la Durantaye à Joseph Caignard, savoir: 3 arpents x 40 de profondeur en la dite seigneurie de la Durantaye, joignant à l’habitation de Louis Lacroix au sorouest; à la veuve et aux héritiers du nommé Catrin au nord est; devant, le fleuve, derrière, les termes non concédées (16 août 1703). pg 36
-Obligation de Joseph Gaignard, de la Durantaye, à Jean Lefebvre, charpentier de Beauport, à l ’acquit de Louis Greslon, de l’Île aux Oyes, pour une rente due par le dit Greslon au dit Lefebvre sur un emplacement acquis devant Lacetière, le 8 janvier 1706, et autres obligations (8 juillet 1710). pg 315
-Obligation de Joseph Gagniard, de la Durantaye, à Louis Greslon, navigateur de l ’Ile aux Oyes, pour le prix d’une chaloupe et frais du marché (8 juillet 1710). pg 315
-Quittance d’obligation par Louis Greslon à Joseph Caniard (Cagniard) (29 octobre 1710) (Voir le 8 juillet 1710). pg 333
-Obligation de Joseph Gaignard, navigateur de Québec, à Mathurin Palain dit Danbonville, pour une somme que ce dernier a payée à Louis Greslon à l’acquit du dit Gaignard (29 octobre 1710). pg 333 (ce n'est pas lui qui est navigateur, c'est Louis Greslon)
-Quittance d’obligation par Jean Lefebvre à Joseph Gaignard (29 décembre 1710) (Voir le 8 juillet 1710). pg 338
-Obligation de Joseph Caignard, de Québec, à Vital Joly, tailleur d’habits, pour marchandises à lui vendues et ouvrage fait pour le dit constituant (1er octobre 1711). pg 358

Fichier origine

COGNARD / CAIGNARD, Joseph 400026
Date de naissance: Vers 1670
Lieu d'origine: Paris (Seine) 75056
Lieu actuel: Paris
Parents: Louis CAIGNARD et Jeanne Marc
Métier du père: Marchand fripier
Date de mariage des parents: 10-02-1664 cm
Lieu de mariage des parents: Me Michel Desprez, Paris (75056)
Première mention au pays: 1690
Occupation à l'arrivée: Migrant
Date de mariage: 12-04-1690
Lieu du mariage: Pointe-de-Lévy (Lauzon)
Conjointe: Geneviève Haubout
Décès ou inhumation: Québec (Notre-Dame), 22-01-1731
Remarques: En 1690, il est en provenance de Paris (St-Eustache), et sa mère est nommée Jeanne Mons. En 1664, son père Louis demeure à Paris (rue de la Tonnellerie) ; et sa mère Jeanne, mineure, demeure à Paris (rue du Cygne), avec son père, marchand fripier et aide mouleur de bois en portes et plans à Paris. En 1714, il était mouleur de bois. Il s'est remarié le 27-10-1720 à Québec (Notre-Dame) avec Marie Stems (Georges Stems et Marie Pérodeau). Son père est décédé avant 03-05-1714. Frère et soeur: Louis, marchand tapissier et contrôleur de la marchandise de foin; Jeanne, m. Adrien de La Messine. Leur fille, Marie-Geneviève, signe un contrat de mariage le 09-02-1717 à Paris devant J.-Baptiste Lecourt et Jean Fabreguettes avec Jacques Baudry de la Marche (f. Urbain Baudry de la Marche et Madeleine Boucher, de Trois-Rivières au Canada), musicien. Ses grands-parents paternels sont Jean Caignard, laboureur à Ronssoy (Somme, 80679), et feue dame Payen. Ses grands-parents maternels sont Mathieu Marc et feue Claude Prion.[15][1]

Autres actes de Paris

CAIGNARD ou COGNARD, Joseph, né à Paris (Saint-Sulpice) vers 1670, migrant arrivé au Canada en 1690. Fils de Louis et de Jeanne Marc ou Mare. (DGFQ, p. 263) (FO-400026)[16]

Contrat d’apprentissage de son père :
Le 07.12.1647 devant Michel Desprez et son confrère, Étude XV 142
Louis Cagnard fils de Jean, de Ronchois (Seine-Maritime) en Normandie, est mis en apprentissage de tissutier rubanier chez Jean Tisserand de Paris.[16]

Contrat de mariage des parents :
Le 10.02.1664 devant Michel Desprez et son confrère, Étude XV 182
Louis Caignard, marchand fripier à Paris, y demeurant sous la Tonnellerie paroisse Saint-Eustache, fils de Jean, laboureur au Ronssoy proche d’Aumale (Somme) en Picardie, et défunte… Payen, et Mathieu Marc, marchand fripier et aide mouleur de bois en portes et plans de cette ville et faubourg de Paris, y demeurant rue du Cygne paroisse Saint-Eustache, stipulant pour Jeanne Marc sa fille, et de défunte Claude Prion. 700 livres de dot dont 600 en deniers comptants et 100 en habits, linge, meubles, et hardes. 300 livres de douaire préfix pour la future.
Le mariage a eu lieu avant le 26.04.1664 date de quittance en marge et probablement à Saint-Eustache puisque les deux futurs étaient de la paroisse Saint-Eustache.[16]

Un acte d’autorisation de succession concernant Louis Caignard et Jeanne Marc a été enregistré au Châtelet de Paris le 12.05.1721 sous la cote AN4347.[16]

Sources

  1. 1.0 1.1 Fichier Joseph Caignard 2020 Fédération québécoise des sociétés de généalogie//Québec Federation of Genealogical Societies
  2. Mariage image IGD
  3. Bapt. Jeanne Caniard IGD
  4. Bapt. Marie Geneviève Caniars IGD
  5. BAnQ: Tanguay, Cyprien, Dictionnaire Généalogique des Familles Canadiennes depuis la fondation de la colonie jusqu'à nos jours; Montréal, 1887 (7 volumes) Vol 2 A=CH pg 522 (Caignard)
  6. BAnQ: Tanguay, Cyprien, Dictionnaire Généalogique des Familles Canadiennes depuis la fondation de la colonie jusqu'à nos jours; Montréal, 1887 (7 volumes) Vol 3 CH-EZ pg 106 Note Tanguay lui donne un fils, Charles, dont un seul acte est trouvable, le mariage de Marie Charlotte Cognart, fille de défunt Charles Cognart et de Marie Angélique Pinau, le 19 février 1759 à Verchères.
  7. 7.0 7.1 Quebec, Vital and Church Records (Drouin Collection), 1621-1997 - Drouin IGD
  8. 23 avril 1708 Cote : TP1,S28,P8639 Fonds Conseil souverain - BAnQ Québec Id 408731
  9. 9.0 9.1 Dossier Fichier
  10. Mariage 2 IGD
  11. Sépulture-Funeral image IGD (dernier acte sur la page)
  12. BAnQ: Tanguay, Cyprien, Dictionnaire Généalogique des Familles Canadiennes depuis la fondation de la colonie jusqu'à nos jours; Montréal, 1887 (7 volumes) Vol 2 A=CH pg 522
  13. BAnQ: Tanguay, Cyprien, Dictionnaire Généalogique des Familles Canadiennes depuis la fondation de la colonie jusqu'à nos jours; Montréal, 1887 (7 volumes) Vol 3 CH-EZ pg 106
  14. 14.0 14.1 14.2 BAnQ Notarial acts index Inventaire des greffes des notaires du régime français, par Pierre Georges Roy et Antoine Roy; 27 Vol + index 1-8
  15. DGFQ, p. 263 (Jetté)
  16. 16.0 16.1 16.2 16.3 Les familles pionnières de la Nouvelle-France dans les archives du Minutier central des notaires de Paris, Présentées et annotées par Marcel Fournier, Auteur Jean-Paul Macouin, Société de recherche historique Archiv-Histo, 2016. pg 44
  • Actes d'état civil et registres d'église du Québec (Collection Drouin), 1621 à 1997 - Gabriel Drouin, comp. Drouin Collection: Institut Généalogique Drouin IGD (membership) https://www.genealogiequebec.com
  • BAnQ: Bibliothèque et Archives nationales du Québec/Québec National Library and Archives http://www.banq.qc.ca/accueil/




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