Dominique Audirac dit Beausoleil
Fils de Bernard Audirac et de Marie Jeanne Sauvade (ou Salval), il est né vers 1727 à Saint-Étienne-de-Baïgorry, diocèse de Dax, en Gascogne (Pyrénées-Atlantiques)[1]
Il est recruté le 5 juin 1750 dans les compagnies franches de la marine. Il s'embarque pour la colonie en 1750 sur le navire Madame Infante Victoire[2]
Soldat des troupes de la Marine |
Il apparaît pour la première fois dans les registres de la colonie en mars 1752 à l'Hôtel-Dieu de Québec, on lui donne alors 25 ans, soldat de la compagnie de St-Pierre. Il semble être affecté à la compagnie de Lignery un court temps en 1753. Les diverses hospitalisations enregistrées pour lui le disent soldat de Gascogne avec ces compagnies, soit âgé de 25 ou de 30 ans (1752-1754)[3]
En 1757 à son contrat de mariage, il est soldat de la compagnie de Boishébert.
Mariage
Extrait du contrat de mariage passé pardevant maître Barolet, notaire, entre Dominique Audirac (Beausoleil), soldat de la compagnie de Boishébert, natif de France, de la paroisse de Saint-Étienne-de-Baïgorry (Dax), près de Bayonne, fils de Bernard Audirac et de Marie-Jeanne Saval (Sauvage - Sauvade), ses père et mère; et Marguerite Dumesnil, âgée de 24 ans, fille de feu Pierre Dumesnil dit Lamusique et de Marguerite Duchesnay (Francourt), ses père et mère, demeurant en la ville de Québec; 6 février 1757 [Document insinué le 31 octobre 1758][4]
Marguerite Dumenil dite La Musique s'est mariée avec Dominique Audirac dit Beausoleil, fils de Bernard Audirac et de Jeanne Sauvade, le 7 février 1757 à Québec (ND)[5]
Cause entre Dominique Audirat (Audirac), demandeur; et Pierre Dumenil Lamusique, défendeur, comparant par Scholastique Roussin, sa femme, à propos d'un fusil que le fils dudit défendeur a eu du demandeur, il est ordonné que ledit défendeur soit condamné à rendre le fusil en question au demandeur ou de lui payer sur le pied de 24 livres, en plus de payer les dépens liquidés à 30 sols; 14 juin 1757[6]
On trouve ensuite Dominique étant parrain de Marie Madeleine Petit, fille de Jean Petit le 20 avril 1758 à Québec, et de Marie Angélique Guain, fille de Marie Josephe Barbeau et de Jean Guain, le 22 juillet 1760 à Cap-Santé.[7]
Ensuite, plus aucune trace ne se trouve de lui et son épouse. Présumément qu'après la Conquête il est rentré en France et amené son épouse avec lui.
Featured German connections: Dominique is 21 degrees from Johann Wolfgang von Goethe, 25 degrees from Dietrich Bonhoeffer, 27 degrees from Lucas Cranach, 21 degrees from Stefanie Graf, 23 degrees from Wilhelm Grimm, 21 degrees from Fanny Hensel, 28 degrees from Theodor Heuss, 20 degrees from Alexander Mack, 36 degrees from Carl Miele, 19 degrees from Nathan Rothschild, 25 degrees from Hermann Friedrich Albert von Ihering and 23 degrees from Ferdinand von Zeppelin on our single family tree. Login to see how you relate to 33 million family members.
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